Edité par Luc MICHEL
Avec EGTV/
Avec Le Visionnaire
Le Parti du progrès(sic) a participé à Bruxelles, le mercredi 7 juin, à une conférence dirigée par le député européen Jordi Cañas, qui a été développée comme une continuation de la résolution historique sur la Guinée équatoriale, adoptée par l’Union européenne en février de cette année.
La délégation du Parti du progrès était représentée par son président, Armengol Engonga Ondo et soutenue par Alberto Esono Ondo et Luciano Ndong Esono Oyana.
L’Union européenne a déjà exprimé son intention d’aider à un processus transitoire et peut construire une véritable démocratie (resic).
Ces conférences ont couvert l’histoire de la Guinée équatoriale et ont également tracé un avenir dans lequel les différents groupuscules politiques compradores doivent s’entendre.
Les eurodéputés Jordi Cañas et Javier Nart ont célébré l’événément. Armengol Engonga a qualifié ce type de rencontre de très satisfaisante puisqu’elle réunit des entités puissantes, comme le Parlement européen.
JORDI CAÑAS ET JAVIER NART, PLANIFICATEURS D’UN COMPLOT CONTRE LA GUINEE-EQUATORIALE
Les images sont parlantes, les messages clairs. Il n’y a plus de doutes possibles sur le complot que préparent certains eurodéputés contre la Guinée-Équatoriale.
Cette histoire créée un tollé au sein de l’opinion publique africaine. Qui ne comprend rien dans ce mélange de genre. Qui s’apparente à la fois à un mépris à l’égard d’un régime démocratique et du peuple équato-guinéen qui a renouvelé sa confiance au président Obiang.
Une rencontre a eu lieu entre deux eurodéputés espagnols et un petit groupe d’agitateurs qui se font passer pour des leaders politiques en exile en Espagne. Armengol Engonga Ondo, un Équato-Guinéen qui a pris la nationalité espagnole, ancien membre du parti de Sévero Moto., Ruben Clemente, membre du groupe III ème République, impliqué dans le coup d’état manqué de décembre 2017, Juan Carlos Angue, ancien président de la Cour Suprême de la Guinée-équatoriale, qui avait été limogé pour manquements au serments et inconduites. Ainsi qu’un membre d’un mouvement séparatiste de l’île de Bioko MAIB, Weya Chicampo.
C’est un cocktail de revanchards que l’on a aperçu le 7 mai 2023, aux côtés de deux députés européens de nationalité espagnole, Jordi Canas et Javier Nart. L’alibi de ses deux parlementaires, comploteurs contre la Guinée-Équatoriale, c’est la résolution sur la Guinée-Équatoriale, adoptée par l’Union européenne le 16 février dernier. L’Union européenne semble s’être laissé convaincre qu’il faut une transition en Guinée-Équatoriale. Les eurodéputés Jordi Cañas et Javier Nart sont à la manœuvre contre la Guinée-Équatoriale; sous prétexte de mettre fin à un régime qui bat tous les records. Ils espèrent renforcer les relations entre le Parlement européen et la Guinée-Équatoriale. C’est un deal qui est en train d’être conclu. Contre un président élu, en plein mandat. À se demander si les mêmes qui conseillent la tenue des élections ne sont pas tombés sur la tête.
On voit clairement que ces eurodéputés ne connaissent rien de la réalité politique de la Guinée-Équatoriale. Car ils se sont laissés bercer par le discours de quelques espagnols d’origine équato-guinéenne. Qui n’ont plus aucun contact avec la Guinée-Équatoriale. On ne sait vraiment pas, comment ces gens qui rêvent les yeux grands ouverts vont procéder à ce changement qu’ils proclament à hue et à dia.
L’INITIATIVE PRISE PAR JORDI CAÑAS ET JAVIER NART, EST UNE INGERENCE.
Elle met à mal, la crédibilité, non seulement de l’Union européenne qui joue la déstabilisation d’un état souverain, d’un pouvoir légitime et démocratique. Qui ne relève pas de sa juridiction.
On ne doute plus de la thèse de l’acharnement contre la Guinée-Équatoriale. Nous sommes en face d’un complot de grande ampleur. Des eurodéputés ont été surpris en flagrant délit de complot contre un pays indépendant, avec la collaboration d’un groupe de dissidents impliqués dans des opérations de recrutement des mercenaires, au Sud Soudan. Un groupe de récidivistes. On nage en eau de boudin.
UNE TRANSITION AVEC DES PUTSCHISTES ?
L’Union européenne parle de « transition démocratique » (sic), dans un pays où il y a eu des élections. Mais de quelle transition démocratique, font ils allusionce ? Une transition avec des putschistes ?
On aura tout vu. Tout entendu. Nous ne voyons pas, comment pourrait se produire une telle transition en comptant uniquement sur un petit groupe d’exilés sans envergure, sans aucune assise politique au pays. Qui seront leurs interlocuteurs ? Il est clair que ceux qui s’agitent ne connaissent pas la Guinee-équatoriale. Un pays dont ils ignorent les réalités.
Le temps des transitions est passé, il est loin derrière. Ce qui se passe, est une pure distraction. Nous sommes dans un processus de consolidation des acquis politiques, économiques et social avec tous les acteurs de la société équato-guinéenne.. Le Parlement européen doit éviter d’etre un objet au service des intérêts partisans des eurodéputés espagnols, qui ne sont pas des interlocuteurs crédibles dans les affaires intérieures de la Guinee-équatoriale.
Photo :
Javier Nart et Jordi Canas: L’initiative qu’ils ont prise de réunir des opposants au régime du président Obiang parmi lesquels des auteurs d’un putsch manqué, accable l’Union européenne. Et ne laisse plus aucun doute sur la planification d’un complot de grande ampleur contre la république de Guinée-équatoriale
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